Les larmes de Freyja

Une vague d'inspiration suite à la lecture du chant de la Walkyrie, me voilà plonger dans la mythologie nordique. On lui doit tant, sans elle nous n'aurions pas frémit devant les aventures de la communauté de l'anneau et encore nous connaîtrions pas WOW.

Résumé: La désse de l'amour, le belle Freyja vient d'apprendre la mort tragique de son époux Odr. Son chagrin est si grand qu'il bouleverse le quotidien des habitants de L'Asgard, tout autant que celui des habitants des neufs mondes. L'amour a déserté le monde, les querelles déchirent les peuples, les couples ne s'enlacent plus avec tendresse, tout n'est que plaisir et jeux. Odin le Dieu tout puissant n'est d'aucun pouvoir: si Freyja a décidé de banir l'amour en ce monde, amour il n'y aura plus. Pourtant, il faut trouver une solution. Le menace grandissat de l'heure du Ragnarock plane de nouveau, es-ce donc déjà la fin de l'heure des dieux ? L'épouse d'Odin la très maligne Friggs se donne pour mission de trouver un nouvel époux pour la belle Freyja. Non sans compter l'aide du perfide Loki qui lui sugère le bel Alarick comme prétendant pour Freyja, il possède une ressemblance stupéfiante avec le défunt époux. Cependant Friggs hésite, n'a-t-elle pas lut que dans le destin des hommes que Alarick était promit à un destin glorieux au près de la princesse Ella, rétablissant l'ordre et la justice au Midgard. Alarick prend conscience que l'issue du monde repose sur ses épaules, il part donc à la recherche du dragon Sifendill qui terraça Odr, en le tuant il poura acquérir l'immortalité. Elle seule peut rendre possible le mariage divin du mortel Alarick à la déesse Freyja. Mais l'apparition d'un prétendant inconnu au courage sans faille risque de venir contrecarrer les plans si soigneusement dessinés par les dieux...

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Le manteau ténèbre de la nuit venait une fois de plus recouvrir les neufs mondes, comme à chaque aube. Mais cette nuit là n'eut rien d'ordinaire, le calme avait fait place au vacarme. Aucun des divins dieux de l'Asgard n'avaient pu trouver le sommeil, les cris de despoir de Freja la déesse de l'amour transpersaient toutes les cloisons du palais du maître Odin. Odr l'époux tant aimé de Freja venait de mourir sous les cros du dragon Sifendill. On n'avait pu ramener la dépouille du dieu, ce qui irrita Freja au plus au point. La déesse Frigg la retenait dans ses bras pour pas qu'elle s'écroule sur le sol, à cet instant là Freja prononça des mots sans apparente importance et pourtant ils firent trembler les dieux.

Elle avait le visage décomposé, une de ses mèches blondes aussi claire que les blés s'étaient échappées de sa tresse au fil d'or. Ses yeux d'un bleu limpide étaient à prèsent rouge et gonflés. Sa beauté légendaire semblait avoir déserter son corps frèle. Elle était l'incarnation de l'amour, de la beauté mais à cet instant là elle n'était qu'évocation de la douleur. Cette douleur qui transforme les plus plaisantes choses de cette terre en chose vide et laide. Dans un sanglot stridant, elle réussit à articuler quelques mots: "Je banis l'amour de cette terre, que jamais plus aucun être vivant de ce monde ressentent ce sentiment. Aimer pour souffrir, souffrir pour aimer. Non plus jamais." Elle s'était tut pleurant de plus belle dans les bras généreux de Frigg. Sur les joues aussi blanche que des lys de la Déesse coulaient à présent des larmes cristallines. Elles roulèrent sur le sol avant de tomber dans l'ocean bordant les neufs mondes. Les larmes se transformèrent en ambre, qui fut ensuite balonner par la houle avant de s'échouer sur les plages. Au moment ou les morceaux d'ambre touchèrent le rivage, ils aspirèrent tout l'amour présent des neufs mondes. Dans les minutes qui suivirent, ce fut comme si l'amour n'avait jamais existé. Les humains condidérés comme l'espèce la plus faible furent les premiers touchés par ce fléau. Les époux aimants se mirent qu'à songer à des objectifs moins noble l'obtention du pouvoir, et les femmes aimantes oublièrent de donner leur affection à leur progéniture.
Quand les dieux comprirent avec effroie les conséquences des paroles de Freja, ce ne fut qu'affolement. Odin qui avait sembler garder son calme jusque là, se retira l'air soucieux et grâve, dévisageant de son unique oeil son épouse et la déesse Freja. La nuit s'annonçait être des plus longues.

Chapitre 2: Loki

L'aube allait se lever quand arriva Loki. Personne ne sembla faire attention à lui, les habitants de l'Asgard tentait en vain de consoler Freja. Il arpenta seul les immences couloirs du palais avant d'enter dans la salle du trône. Odin était là assit sur son trône d'or, de bronze et d'argent. Il avait cet air si grâve. Cet air là qui amuse toujours autant le dieu de la malice. Il s'était souvent moquer de la gravité de Odin, il trouvait que cela lui donnait l'air d'un viellard.
-" Loki, es-ce toi ?" demanda Odin.
-" Qui d'autre ça pourait être ?" Dit-il en immitant une voi suave, il avait revêtit l'apparence d'une Alfe à la chevelure d'ébène.
Odin se pencha vers la silhouette de Loki, et soupira avec un air de lassitude.
-" Pourquoi faut-il toujours que tu divertisses quand les heures sont grâves ?"
- "Eummmm." Il prit l'air de réfléchir comme si la question de Odin demandait une reflextion poussée. "Simplement parce que les Alfes sont vraiment très charmant, je ne sais pas si tu le savais mais ils sont très bien montés..."
-"LOKI" repella-t-il à l'ordre.
-"Je suis le dieu de la malice donc si tu ne l'avais pas comprit mon but de semer un peu de divertissement dans ce monde un peu trop carré. Puis décidément vous autres les dieux de l'asgard, vous n'êtez pas drôle !"
Odin reprit son air grâve, contrôlant le sentiment de colère que Loki lui inspirait.
-" As-tu conscience de ce que tu as fait ?"
-" Quoi avoir conscience de quoi ? Je ne pouvais pas prévoir que cet idiot de Odr allait se faire dévorer par Sifendill ?"
-" Je te rapelle que tu lui as suggéré l'idée de ramener les rubis de Sifendill pour faire une tiare à son épouse."


à suivre