Expression libre

Oui, ma réflexion est passé par là aussi. Mais il arrive un moment où je me dis est ce que j'ai envie d'être moi ou est ce que j'ai envie d'être aimer ?
Et là franchement je réfléchis. Parce que même si je suis fier de qui je suis et que je m'aime moi comme je suis, j'ai besoin d'être aimer. Comme tout le monde je pense... Et je ne sais pas si j'arriverai à rester moi si je ne suis pas aimer comme je suis. Je sais pas si je suis clair... mais enfin voilà, j'y pense beaucoup.

Mais je vais essayer de rester moi après mur réflexion... Je désespère juste de trouver quelqu'un qui m'aime vraiment comme je suis... parce que je croyais avoir trouver et en fait non. Ce fitiflop que j'ai battu... j'ai besoin de quelqu'un pour qu'il survive...
voilà.

Et puis même si je le voulais vraiment je ne pourrais pas la récupéré. On ne peut pas forcer l'amour... du moins c'est ce que je crois. Et l'amour a ses raisons que la raisons ignore. ( Pascal ). Je pourrais la convaincre de m'aimer mais jamais de l'en persuader. et c'est là tout le problème...


Merci en tout cas de ce soutient.

On finit toujours par trouver chaussure à son pied même si ce n'est que temporairement
Tu finiras par trouver cette personne qui t'aime pour ce que tu es....regarde tu as déjà des amis et eux ils t'aiment, non ^^ ? (ça fait déjà beaucoup même si je conçoie que ce n'est pas le même genre d'amour)

Ahhhh là ça me rapelle, un peu ma propre réflexion celle que j'ai eut je vais donc te conter l'histoire de la petite Belladone.

Belladone est une jolie petite fleur, un peu trop maigrichonne et violine à son goût. Elle n'est pas l'unique fleur du jardin, il y a en tant et de toutes les espèces. Souvent, elle se met à envier les fleurs les plus pulpueuses et piquantes. Belladone aimerait être aussi voyante que l'hisbiscus avec une robe éclatante, et possèdait les rondeurs généreuses des roses qui attirent tant les gens. Le printemps venue elle passe presque inapercu, peu de visiteurs viennent l'admirer. Mais un beau jour, on l'a perçoit et là un jeune homme se met à aimer cette fleur que l'on délaisse trop souvent. Il l'aime parce qu'elle est discrette, elle fait partit de ses fleurs qui m'embarassent jamais et qui ne font pas de scènes de jalousie. Il l'apprécie également parce qu'elle est belle, certes d'une beauté peu commune qui tient plus de son charme que d'autres choses. Cet amour aurait pu être rendu en retour cependant la Belladone ne l'aime pas lui. Oui il est bien gentil ce jeune-homme pense-t-elle mais il ne croit pas en elle encore moins à son envie d'aventure. Elle le quitte donc et s'en retourne à son jardin.
Elle pensait idiotement que plus personne ne la remarquerait mais cette fois-ci ce fut différent. Quand elle le vit et quand il la vit, ils savaient qu'ils allaient s'aimer. Elle était la beauté réservée dont il rêvait, et il était le charme éloquent dont elle songeait. Lui si chaud à l'extérieur et froid à l'intérieur, et elle si froide à l'extérieur et si chaude à l'interieur. Ils vécurent heureux, un temps, celui qui précèdent les difficultés. Dans le fond il était comme les autres il aimait les fleurs piquantes et rondes, celles qui pouvait le rassurer. Elle voulut donc changer et devenir ce genre de fleurs là. Le temps passa et elle se mourait, ne plus être pleinement soi pour son amour cela la tuait à petit feu. Les jours étaient tous gris loin de lui, mais ils étaient ténèbres quand elle comprennait qu'elle ne pouvait pas renoncer à être elle-même. Elle comprit que pour son bien à elle, elle se devait de renoncer à lui. Il vaut mieux des jours gris avec parfois des rayons de soleil, que des jours ténèbres ou l'orage grogne. La Belladone s'effaça donc de sa vie à lui, ne restant qu'un vague souvenir d'un amour brisé.
Elle était anéhantit, et pourtant heureuse de pouvoir être enfin elle même sans blesser les êtres chers. Elle décida de mettre en avant ses charmes, et toutes sa personnalités. Elle attire maintenant autant que les fleurs piquantes et généreuses. On l'aime beaucoup, malheureusement jamais assez. Ce qui n'est pas de la faute aux autres mais la sienne, elle ne choissit pas les bons soupirants. Simplement parce qu'elle a peur de s'attacher de nouveaux. Il y avait celui qui comprit qu'il n'aimait pas les fleurs, et celui qui sut qu'il aimait sa meilleure amie.

La Belladone en tira donc la leçon qui suit: Pour être aimer pour ce que l'on est, il faut savoir se mettre en avant, mais aussi choissir les bons soupirants.

Trouve ta source, ton vrai toi, et les gens viendront tout seul vers toi. Au final nous les mecs, si on enchaine les femmes, c'est pour que le jour ou on voit LA femme, qu'on puisse la séduire et avoir assez d'expérience pour la garder. Et maintenant avec expérience, je me rend compte qu'il est facile de séduire une femme, mais dure de garder celle qu'on veut.

c'est beau ce que je dis

Yann Shadow a écrit:

Il était une fois, dans un pays lointain, deux grand guerrier. Le
premier, Ososham, possédait un somptueux palais. Il vivait dans le
luxe et vantait ses exploits. On racontait qu’il ne craignait
personne et que sa force lui avait déjà permis de tuer un géant
d’un seul coup de hache. Ososham était craint et respecter.
Le second guerrier se nommait Lööf. C’était un nomade qui exerçait
son talent à l’aide de bâton en pleine nature. Il n’avait
jamais perdu son calme. Les gens le considéraient comme un sauvage.
Puis vint le jour où Lööf traversa la ville d’Ososham. Lorsqu’ils
se rencontrèrent, Ososham le regarda de haut et le provoqua :
« ha, pauvre nul ! Tu te crois le meilleur. Si tu veux
passer, tu devras m’affronter. Je ne crains personne. Approche ! ».
Lööf ferma les yeux et inspira profondément. Il tourna les talons et
partit.
« Ha tu fuis pauvre lâche ! s’écrira alors Ososham. Allez viens
te battre ou je m’occuperais personnellement de ta famille. »
Il fallut à Lööf une autre profonde inspiration avant de reprendre
son chemin, d’un pas des plus calmes. Le foule le hua cette
fois-ci. Mais Lööf continua son chemin, imperturbable. Et il
partie.
Dés lors, Ososham fut reconnu comme le plus grand guerrier de tous les
temps. Même si depuis ce jour, il se demande :
«Comment gagne-t-on vraiment un combat ? »

Une autre fable écrite il y a longtemps. J'en ai écris une récemment qui porte sur le sujet de la conversation mais je ne l'ai pas encore taper. elle sera pour plus tard.

Yann je sais bien que ce n'est pas cette amour que tu cherche mais tu sais que nous on t'aime comme ça.

Je suis désoler pour toi mais ne te laisse pas abattre et tu en sortira encore plus fort.


PS: j'ai reçu un MMS de toi ... mais il était vide, pas de message pas de photo rien

Merci PF. Tant fait pas, je tiens le coup et je sais que vous êtes là. merci.


Le MMS était censé être plein... bon... je vais retenter lol.

J'ai besoin de vos avis et de vos conseilles car je vais me lancer dans la voi du culot (ça semble extraordinaire quand on connaît mon côté rêveuse passif). Après avoir fait une rétrospective de ma vie sentimentale voyant que depuis 9 mois je n'avance pas..., je me suis dit qu'il serrait tant que je fasse ce que mon dicte mon coeur et non ma raison.

Le premier semestre j'ai eut la chance d'avoir un chargé de TD des plus interessants, à vrai dire il m'a conquise !mdr Normal il est charmant et passionné par ce qu'il fait ^^, deux qualités très attirantes chez un homme. Par chance je me suis pas totalement passée inaperçue, genre il m'appellait par mon prénom et semblait ravie de ma participation. J'ai même pu avoir une visite guidée du Laboratoire CRPAA en compagnie de deux amies, et j'ai même eut le culot de le complimenter sur sa capacité d'enseignement. Au final, je me suis fait une raison comme quoi fallait que j'arrête de le trouver très attirant car bien sûr il était "mon prof" et moi je n'étais qu'une élève. Donc pour rentrer dans la "normalitude", je suis sortie avec un garçon de ma fac que je trouvais beau et sympas mais cela n'a pas marché.

Voilà que je resonge à cette attirance là surtout que je croise de tant à autre mon ancien chargé de TD qui est toujours des plus souriants quand il me croise. A présent qu'il n'est plus mon prof, je me demande si je devrais tenter quelque chose, es-ce celon vous une bonne idée ? Si oui comment aimeriez-vous qu'une fille (genre immaginé qu'elle soit une de vos élèves) vous fasse une ouverture ?
Je pensai lui demander des informations sur la possibilité de faire des stages en laboratoire, histoire de ne pas faire trop flag ou folle furieuse.

ps: Un chargé de Td est un étudiant en doctorat donc il a surment entre 25 ans et 27 ans.

Bon sang, Bella ! Arrête de te poser tant de questions, tu vas exploser !

Qu'est ce qui t'empêche de sortir avec ce garçon ?
Tu visualises la réponse ? Rien ! Oui, c'est ça !

Quant au fait, qu'il soit plus vieux que toi, franchement je ne trouve pas ça choquant

Et puis, tu sais, au lieu d'échafauder des plans pour l'approcher, la prochaine fois que tu le croises propose lui d'aller boire un café ou je ne sais quoi, ça paraitra peut-être plus instinctif ^^

Pas mieux... bien joué Ellie.

...

Il n'y a plus de vraies femmes comme avant dans ce monde

Je l'ai fait !!!!

Hey raconte !

Je voulais y aller franco mais je me suis résignée vue qu'il n'est jamais seul (genre toujours accompagné des chercheurs du CNRS et du Labo ) après il m'était aussi impossible d'aller le voir à son bureau vue qu'il le partage avec trois autres doctorants (j'allai pas faire, coucou ça vous dirait que l'on aille prendre un café...les gens sont du genre à jaser surtout à l'université) Je me suis dit qu'il restait que la méthode mail donc je lui ai envoyé un mail, et il ne me reste plus qu'à recevoir une réponse. A mon avis il ne répondra pas, je suis assez lucide pour comprendre qu'il y a peu de chance qu'une jeune fille de 21 ans puisse l'intérêsser. Mais au moins comme m'a dit une amie, je me suis libérée d'un poids (je n'ai plus à y penser) et en plus même si il ne me répond pas il serra flatter.

Oui... tu as bien fait.

Comme disait un grand sage
" C'est pas la fin de quelque chose : c'est le début d'une autre chose... "

Et il y a que quand on a terminé une chose qu'on peut en commencer une autre

le petit sage à dit :
"Et il y a que quand on a terminé une chose qu'on peut en commencer une autre"

Alors comment expliques tu que j'arrive à lire aux chiottes?

lol à toi de me le dire...

2 J pas de réponse donc en fait je n'ai rien perdu ^^

12h l'amphi grouille, les gens se frayent difficilement un passage. Une réunion dîtes-vous, à l'ordre du jour le blocage ? Je me faufile avec difficulté à l'intérieur, debout derrière la toute dernière rangée. Je cherche du regard mes amis, elles sont en bas et rigolant à gorge déployer. Marine sourie de toutes ses dents. Jaja fait ses petites mimiques si amusantes. Lu regarde avec sérieux et admiration notre prof de comtemporain qui se tient sur l'estrade avec nos autres professeurs. Leati ajuste au mieux ses lunettes, tout en discutant avec Pauline et Emilie. Thomas un de mes exs prépare son discours, il va jouer l'intermédiaire de cette réunion. Marion une de ses amies est posée près de lui et a l'expression grâve.
La réunion commence, nos profs nous récapitulent la situation. Rapidement la question de durcir le mouvement est à l'ordre du jour. Ils nous expliquent que même si la réforme ne touche pas directement l'UFR d'histoire de l'art et archéologie, celle-ci se doit de soutenir le mouvement car à long terme notre section risque de disparaître. Les profs qui sont généralement hostiles au blocage, l'évoquent avec sérieux. Des applaudissement grondent ainsi que des protestassions. Puis Thomas donne la parole aux élèves. La foule afflue toujours, je me tourne et remarque que Deluc le meilleur ami de Thomas est présent. Il semble absorber par la réunion, bien que la fac soit un vieux souvenir pour lui. Une fille du dernier rang parle, elle dit que le blocage nous pénalisera. Les profs tentent de la rassurer, ils lui disent que les exams serront que sur ce qui était vue en cours. Ils rajoutent également qu'il ne s'agit d'un blocage reconductif, et que mercredi prochain se déroulera un autre vote sur le maintien ou pas du blocage. Au bout d'une heure, on passe enfin au vote. Le oui pour le blocage de l'UFR est majoritaire. La foule se retire progressivement, tout le monde a prévut de se rendre à la manisfestation de 14h30.
Place de la Victoire, 14h30. Les étudiants se regroupent progressivement tandis que la manif s'ouvre sur un des plus célèbres passages d'Hamlet: "être ou ne pas être ?Tel est la question..." Nous avons eut le droit à la lecture des différentes traductions de la version original qui est d'une pure beauté. Le passage s'achève sur l'idée qu'il y a un temps pour la rélexion et un temps pour agir. Puis commence enfin la manifestation, 1H30 de marche sous le vent glacé de l'atlantique.



Selon moi, l'université se doit de faire des sacrifices au vue des circonstances de crises. Je ne suis pas pour ni contre les réformes, car la réalité est autre ...la résolution de la crise ne passera que part des sacrifices. Tanpis y aura moins de chercheurs et de profs. Cependant y a une chose qui mérite par dessus tout que l'on se batte, c'est bien et belle la CULTURE !!!!! Non qu'ils ne tuent pas les petites fillières, la diversité est probablement la plus belle chose qu'est établit notre société. Quand on entend dire que l'éducation rédige un manuel d'histoire de l'art pour les primaires par des personnes non-historiens de l'art, cela est un scandaleux surtout quand ils n'ont pas su distinguer une église gothique d'une église néo-gothique.

Voilà un coup de gueule du moment